bonjour les amis ^^
ça faisait longtemps? =)
un petit dessin de 33 minutes exactement pour pas vous laisser sur votre faim. J'en convient il n'est pas parfait, mais je l'aime atrocement n.n

L’origine de ma passion, le dessin, remonte à ma tendre jeunesse quand commençait mon besoin de me démarquer des autres. Je n’était et je ne suis toujours pas attirée par le sport, ni par les concours de popularité ; de plus je me suis vite aperçue que le fait de montrer un dessin qui dépassait les compétences de la moyenne de ma tranche d’age provoquait toujours une surprise à la fois embarrassée de ne pas pouvoir en faire autant, et à la fois admirative, le tout nappé de jalousie. Recevoir tout ceci me comblait d’une joie …le genre de joie qui titille, qui nargue, et qui défie.

Mes tout premiers dessins, les vrais, ceux qui impressionnent mes amies, ont commencé à se manifester en 5^e. J’utilise le terme « manifester » car ils ont bel et bien apparut. La rage, la jalousie, la déception de ne pas être comme les autres ; les insultes, les brimades, être toujours essoufflée en sport…Cela dépassait ce que je pouvais endurer mentalement. Et c’est dans les nuits, un carnet dans la main gauche, un crayon dans la main droite, une gomme entre mes dents serrées, je dessinait des anges, des vampires, des chimères ; tout pour m’échapper.

A partir de ce mélange de sentiments, je pourrais décrire cette passion qu’est dessiner. Dessiner, c’est lâcher ses émotions, ses rêves, ses fantasmagories, tout ce qu’on peut produire du trait d’un crayon pour peu qu’on ait une feuille. On voyage, on court librement, on vole à dos de créatures, on produit les pires cauchemars sur nos pires ennemis, on crée du rire, de la passion, du plaisir, de la surprise. Et si on y croit, on y arrive.

Dessiner c’est comme voler dans Peter Pan, si on y croit, si on y croit avec sincérité, on y arrive.

 Le dessin m’a toujours procuré ce sentiment d’évasion, aujourd’hui encore, même si je suis plus en accord avec moi-même, je continue à dessiner du non-sens, partout, tout le temps, et trop même.

Ma miniville.
Ma miniville elle est trèèès belle! :D
donc ceux qui y vont pas ben c'est des ploucs!
ceux qui y vont pas ben....ils roulent en gros 4x4 qui polluent touuut!
Ceux qui vont pas dans ma miniville très jolie qui est dans ma barre de lien, ils n'y auront pas de petite maison!
et en plus ce seront des méchants.

Fin du poème, maintenant on clique

(gounod ville, ha ha la blague)

La vendeuse du temps:

Elle s'est pointée, elle s'est incrustée à,mon anniv, et, cette arnaqueuse, elle m'a chouravé mes précieux 14 ans pour me reflouder un petit 15 ans tout minable et tout jeune....

pfff je l'aimais bien mon 14 ans, il avait 365 jours et il était tout rodé...mes 15 ans ils sont tout jeunes et inexperimentés, je vais même pas toucher l'assurance si je le casse!

tralalah, faut faire avec einh? <3

eh bien...voilà........

On clique!

C'est étrange comme des fois une angoisse insondable me prend...dans le thymus. (oui ça sert pas mal à situer les malaises les cours de svt Oo)

Je vais me la jouer skyblog...je vais écrire mes sentiments...ouais.
allez je le sent bien là on est chauds! ^^""
hem...tout d'abord ya ces petits....ces trucs là....ouais, les machins vous savez?
Ben j'en ai pas, ouais , j'ai pas de sentiments.
C'est vrai, je ris hystérique, je gueule, mais...c'est comme si j'étais neutre à l'intérieur. Une sorte de malédiction (oh le grand mot tout de suite) fait que quand je marche, personne ne me vois, personne ne me parle, et tout le monde me bouscule...et puis moi qui n'arrive pas à gagner un bras de fer avec une amie, pourquoi quand je pousse quelqun il atterit à 3mètres?
Bah surement pour que je garde indéfiniment cette réputation de brutasse...mais j'en ai assez.
5 ans d'école et 3 ans de collèges c'est ma vie, et je 'lai passée à dessiner pour me cacher des moqueries, ouais, j'ai passé mon enfance à me faire charrier...à l'école c'est les vraies insultes, en famille c'est les insultes déguisées, c'est presque pire.
et ensuite il y a l'adolescence, ce truc qui fait d'un coup prendre conscience qu'on est un p'tit bout de rien qui s'en fait trop...pour que dalle.
alors on est en colère et on fait n'importe quoi...comme ne pas manger ou se faire du mal...
ça ça part généralement avec beaucoup, beacoup de temps, pour certains ça se finit jamais, ou plus précisément ça se finit en queue de poisson dans une lumière blanche ...déprimant.
ensuite il y a le collège, ce TRUC qui vous juge continuellement, dès que je croise un regard, c'est comme si je lisais au travers:"ouah elle est moche s'te meuf"
pourtant je devrais pas.
ouais je devrais pas.
Mais c'est pluus fort que moi, je suis comme ... comme un vampire : je peux pas encadrer mon reflet dans la glace.
L'angoisse reviens souvent, comme une amie qui viens prendre du bon temps, sauf que l'angoisse c'est le genre d'amie dont tu te passes bien...elle reviens la nuit...quand on pense trop....en contrôle de mathematiques....quand je vois des gens s'embrasser...ou tout simplement sans réson, en pleine rue, je pers mon souffle et je m'affole, je regarde dans tout les sens et je me questionne : "il se passe quoi là?!"
Boah quelque part j'écris tout ça mais...ça sert juste à fixer ses pensées einh?
Mais avant qu'on me dises que je suis grosse, dans la court de l'école entre un ballon e mousse et une marelle, le tout dit par une little tepu de 7 years fan de lorie....bah j'étais tranquille.
point. barre-

mmmh....parfois on se sent comme...arraché des bras non? >_o
bref...ne vous inquiétez pas je vais bien einh :D